Dans ma bibliothèque fraîchement réorganisée -ah ! le plaisir de sortir mes livres des cartons dans lesquels ils étaient confinés depuis plus de deux ans !- entre Le joueur de Dostoïevski et L'éducation sentimentale de Flaubert (le hasard du rangement dans l'ordre alphabétique fait que toute corrélation avec une quelconque réalité serait purement fortuite), L'amant de Duras a disparu...
J'ai pensé à ce roman en retrouvant un petit papier dans mon agenda sur lequel j'avais griffonné cette citation de Marguerite Duras :